Les chimpanzés et les orang-outans seraient comme les hommes, touchés par la crise de la quarantaine. D’après des chercheurs irlandais, leur bien-être suivrait également une courbe en U, qui nous expose à une période difficile au milieu de notre vie. Selon leurs observations, entre 28 et 35 ans (qui correspond à la quarantaine pour les hommes) les singes ont tendance à déprimer. Ils deviennent dès lors moins sociables et davantage insatisfaits. L’hypothèse avancée par les scientifiques: comme pour notre espèce, des facteurs biologiques pourraient être mis en cause.