Depuis le 1er juillet 2012, les automobilistes avaient l'obligation d'avoir des éthylotests dans les véhicules. A plusieurs reprises, les pouvoirs publics ont reporté les dates d'application de sanction en cas de non respect de la loi. Une hésitation liée notamment à des ruptures d'approvisionnement chez les fabricants mais aussi à des doutes sur la fiabilité de ces produits. Un modèle d'éthylotest sur deux serait défaillant, selon une enquête récente réalisée par le mensuel Que choisir. Les appareils en cause indiquaient une alcoolémie inférieure à la limite légale alors qu'elle la dépassait. Par ailleurs, certains présenteraient un danger potentiel pour la santé.
Depuis le 1er juillet 2012, les automobilistes avaient l'obligation d'avoir des éthylotests dans les véhicules. A plusieurs reprises, les pouvoirs publics ont reporté les dates d'application de sanction en cas de non respect de la loi. Une hésitation liée notamment à des ruptures d'approvisionnement chez les fabricants mais aussi à des doutes sur la fiabilité de ces produits. Un modèle d'éthylotest sur deux serait défaillant, selon une enquête récente réalisée par le mensuel Que choisir. Les appareils en cause indiquaient une alcoolémie inférieure à la limite légale alors qu'elle la dépassait. Par ailleurs, certains présenteraient un danger potentiel pour la santé.