Salmonelle : une dizaine de morts et près de 80 malades à cause de fromages contaminés en 2015 et 2016
Scandale sanitaire. Alors que l'affaire Lactalis, ponctuée par la contamination à la salmonelle de 38 bébés en 2017 et plus de 200 entre 2005 et 2017, suscite l'indignation, une nouvelle affaire voit le jour. La cellule investigation de Radio France revèle en effet ce vendredi, que près de 80 personnes ont été malades après avoir mangé du fromage au lait cru en 2015 et 2016, notamment du morbier et du Mont d’Or, tous deux fabriqués en France Comté. Une dizaine de personnes en seraient mortes, principalement des personnes âgées déjà très fragilisées par une autre maladie. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Aliments transformés : qu’est-ce qui se cache dans nos yaourts ?
Jusqu’à 12 additifs retrouvés dans des pots de yaourt. Le 12 avril, 60 Millions de consommateurs a publié un hors-série pour dénoncer les "entourloupes" des industriels qui tentent de faire passer des produits bourrés d’additifs pour des produits sains. Parmi les produits listés, les yaourts. Les Français consomment en moyenne 280 pots de yaourts par an. C’est l’un des chiffres les plus élevés d’Europe. Mais si ces produits plaisent, sait-on vraiment comment ils sont fabriqués et ce qu’ils contiennent ? La réponse ici, dans notre article.
Tribune contre les médecines alternatives : des médecins signataires visés par une plainte
Des "pseudo-médecines", des "promesses fantaisistes" à "l’efficacité illusoire". Le 18 mars dernier, ces expressions sont apparues dans les colonnes du Figaro. Le quotidien publiait en effet une tribune à charge contre les médecines alternativessignée par 124 professionnels de santé. En cause, selon eux, l’inefficacité des "médecines douces" que sont l’homéopathie, la mésothérapie et l'acupuncture. "Face à des pratiques de plus en plus nombreuses et ésotériques, et à la défiance grandissante du public vis-à-vis de la médecine scientifique, nous nous devions de réagir avec force et vigueur", écrivaient alors les signataires, qui réclamaient des mesures pour ne plus reconnaître ces pratiques, ne plus les enseigner et obliger les professionnels de santé à s’en écarter. Retrouvez notre article.