Cancer : un enfant sur deux dans le monde n’est ni diagnostiqué, ni traité
En 2015 dans le monde, près de la moitié des enfants touchés par un cancer n’ont pas été diagnostiqués, et n’ont donc reçu aucun traitement adapté. C’est l’alarmant constat émis par une nouvelle étude américaine publiée dans The Lancet Oncology. Selon son principal auteur, le Pr Zachary Ward, de l’École de santé publique Harvard TH Chan, dans le Massachussetts, les statistiques suggèrent jusqu’à 397 000 nouveaux cas de cancer chez l’enfant chaque année. Or, les registres nationaux n’en dénombrent que 224 000. 45%, soit 172 000 cas de cancers infantiles échapperaient donc à tout diagnostic. Plus d'informations dans notre article.
Parkinson : soigner la maladie grâce à des injections dans le cerveau
Un traitement directement injecté dans le cerveau a permis de soigner efficacement la maladie de Parkinson, selon un nouvel essai clinique. Les neurones dopaminergiques, que la maladie neurologique dégrade, ont pu être régénérés. Six patients ont d’abord participé à l'étude pilote pour évaluer l'innocuité de l'approche thérapeutique. 35 autres personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont ensuite participé à une expérience de neuf mois, la moitié d’entre elles recevant soit un placebo, soit le traitement. Bilan : la zone du cerveau affectée par la maladie s’est régénérée chez tous les patients ayant reçu les injections, tandis que les personnes sous placebo n’ont vu aucune amélioration de leur état. Pour lire la suite, cliquez ici.
VIH : des protéines "sur-mesure" pour aider les anticorps à combattre le virus
Les chercheurs viennent-ils de franchir une nouvelle étape dans l’élaboration d’un vaccincontre le VIH ? C’est ce que laisse espérer une nouvelle étude menée par l’Université d’État de Pennsylvanie (Penn State University). Dans un article publié dans la revue Nature Communications, ses auteurs expliquent être parvenus à l’aide d’une modélisation informatique à créer des protéines capables d’imiter les différentes caractéristiques de surface du VIH en s’infiltrant dans son revêtement protecteur. Testées sur des lapins, ces protéines ont permis aux rongeurs de développer des anticorps capables de se lier au virus du sida pour mieux le combattre. On vous en dit plus dans notre article.