Journée mondiale de l'hémophilie : une maladie héréditaire encore méconnue
Environ 7000 personnes en France souffrent d'hémophilie, une maladie génétique héréditaire rare qui empêche le sang de coaguler correctement. Comme l'explique l'Inserm, en cas de saignement, l’écoulement ne peut s’arrêter ou alors, très difficilement. "Les patients se risquent donc à des hémorragies sévères en cas de blessure et parfois à des saignements spontanés, notamment au niveau des articulations". Les traitements actuels permettent de "contrôler" la maladie, mais pas de la guérir. Cette 29ème journée de l'hémophilie est l'occasion de parler de cette pathologie méconnue, souvent stigmatisée et mal comprise. Pour lire notre article, cliquez ici.
La barbe des hommes contiendrait plus de bactéries que le pelage des chiens
Lors d'une étude portant sur les transmissions éventuelles de maladies entre le chien et l'homme, les chercheurs de la clinique Hirslanden, en Suisse, ont découvert que la barbe des hommes contenait plus de germes et de bactéries que le pelage canin. Les chercheurs ont d'abord prélevé des échantillons sur la barbe de 18 hommes âgés de 18 à 76 ans et dans le cou de 30 chiens de races différentes, pour comparer les quantités bactériennes. "Notre étude montre une charge bactérienne significativement plus élevée sur la barbe des hommes que dans la fourrure des chiens. La totalité des participants présentait une numération de colonies microbiennes élevée, alors que c'était le cas chez seulement 23 des 30 chiens : 7 présentaient en effet une numération de colonies microbiennes modérée". Pour lire la suite, cliquez ici.
Alzheimer : une protéine synthétique mise au point pour bloquer le développement de la maladie
Aujourd’hui, près de 850 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer en France. Le cap des deux millions pourrait être atteint d’ici 2030, car la population vieillit, et que l’âge est le principal facteur de la maladie. On ne connaît pas encore les causes de cette pathologie, mais nous savons comment elle se manifeste. Des protéines, les bêta-amyloïdes, s’accumulent de manière anormale dans le cerveau pour former des plaques et des lésions par la suite. Des chercheurs américains, de l’université de Washington à Seattle et d’autres centres de recherches du pays ont mis au point un peptide synthétique, ou petite protéine, capable de bloquer la bêta-amyloïde et de la rendre moins nocive. Le peptide synthétique se plie en une structure appelée feuille alpha. On vous en dit plus dans notre article.