Cet additif alimentaire courant déclenche diabète et obésité
La consommation de propionate, un additif alimentaire fréquemment utilisé, favorise l’obésité et le diabète, selon une nouvelle étude. Il est pourtant considéré comme un produit sans danger aux Etats-Unis. Le propionate est largement utilisé par les boulangeries et les créateurs d’arômes artificiels. C’est un acide gras qui aide à prévenir la formation de moisissures sur les aliments. La recherche, qui combinait les données d'un essai chez l'humain et des études menées chez la souris, a indiqué que cet additif alimentaire pouvait déclencher une cascade d'événements métaboliques entraînant une prise de poids et une résistance à l'insuline. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Ecrans, sommeil, activité physique : les nouvelles recommandations pour les enfants de moins de 5 ans
Pour grandir en bonne santé, un enfant de moins de cinq ans doit passer le moins de temps possible assis devant un écran, attaché à son siège ou dans sa poussette, bénéficier d’un sommeil de bonne qualité et se consacrer majoritairement à des jeux actifs, selon les nouvelles lignes directrices de l’OMS publiées mercredi 24 avril. L’idée est ici de faire prendre très tôt de bonnes habitudes. "Pour assurer la santé pour tous, il faut faire ce qu’il y a de mieux pour la santé dès le plus jeune âge" déclare le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. "Le développement est rapide pendant la petite enfance et il faut profiter de cette période pour adapter le mode de vie familial dans un sens favorable à la santé." On vous en dit plus dans notre article.
Etats-Unis : 695 cas de rougeole, ce qui en fait la pire épidémie depuis 2000
Les Etats-Unis ont recensé 695 cas de rougeole depuis le début de l'année 2019, soit la pire recrudescence de la maladie depuis son élimination officielle en 2000, selon les Centres de prévention des maladies (CDC). A titre de comparaison, 667 cas avaient été enregistrés en 2014. Le pays doit cette croissance à la défiance des parents envers les vaccins, soit par ce qu'ils pensent à tort que leur enfant peut développer un trouble du spectre de l'autisme, soit pour des raisons religieuses... Pour lire la suite, cliquez ici.