Les méthodes d'extension du pénis ne sont en fait pas efficaces et dangereuses
Pour les hommes complexés par la taille de leur pénis, cela peut être une solution : en passer par une "pénoplastie" d’allongement ou d’élargissement de la verge. Mais cette intervention chirurgicale, tout comme d’autres méthodes fréquemment employées pour agrandir le sexe masculin, est loin d’être réellement efficace. C’est en tout cas la conclusion qu’en ont tiré des chercheurs qui ont passé au crible 17 études portant sur des traitements chirurgicaux et non-chirurgicaux d’augmentation de la taille du pénis. Les recherches ont donc évalué un total de 21 interventions chez 1 192 hommes, dont 773 suivis après un traitement non chirurgical (248 hommes) ou chirurgical (525 hommes). Premier constat émis : la grande majorité des hommes souhaitant augmenter la taille de leur sexe avaient en réalité un pénis de taille normale... Pour lire la suite, cliquez ici.
« Chirurgien de l’horreur » à Grenoble : une famille l’accuse de la mort d’un patient
Les révélations concernant les dégâts causés par le Dr V. n’en finissent pas. Alors que la semaine dernière, Le Parisien affirmait que 33 victimes présumées du "chirurgien de l’horreur" se réunissaient pour exposer collectivement leurs griefs vis-à-vis de ce praticien spécialiste du dos, le quotidien donne aujourd’hui la parole aux proches de Noël. Décédé en novembre 2017 suite à son opération, cet homme de 73 ans était aussi le patient du Dr V. Aujourd’hui, sa famille accuse le chirurgien d’avoir entraîné sa mort à cause de ses manquement professionnels. "Mon père n’est plus là pour évoquer toutes ces souffrances. Nous parlons donc en son nom pour dire comment sa vie s’est terminée, dans une lente agonie. Pour moi, ce chirurgien a conduit mon papa à la mort", affirme ainsi la fille de Noël, Cécile, au Parisien. Tout commence en novembre 2016... Pour continuer la lecture, cliquez ici.
Elections européennes : Paris facilite le vote des personnes handicapées mentales
Alors que les élections européennes se dérouleront le dimanche 26 mai en France, les personnes handicapées mentalement auront plus de facilités à voter dans la ville de Paris. Actuellement, "on ne sait pas si on doit prendre une enveloppe ou pas. Ils nous laissent là comme ça sans nous aider", raconte à France Info Lucette Blanquart, atteinte d'un handicap mental et administratrice de l'association "Nous aussi". La capitale œuvre depuis six mois avec différentes associations pour faciliter le vote des personnes présentant un handicap mental ou psychique, un syndrome autistique ou encore une déficience intellectuelle. Ce "dispositif unique" prévoit des affiches en "falc" (facile à lire et à comprendre) dans chaque bureau de vote, une formation des agents, des isoloirs adaptés, le nom des listes en braille et une vidéo pédagogique destinée aux électeurs. On vous en dit plus dans notre article.