Jeux vidéo : comment Pokémon aura laissé des traces dans le cerveau de ses joueurs
Dans les années 1990, des millions de jeunes enfants à travers le monde ont joué à Pokémon de manière frénétique. Nombre d’entre eux ont même continué après et cela aurait laissé des traces dans leur cerveau. En effet, d’après une étude américaine parue dans le journal Nature Human Behavior, ce stimuli visuel répété pendant l’enfance, combiné aux nombres d’heures passées devant un écran, aurait activé des régions cérébrales spécifiques... Pour en savoir plus, cliquez ici.
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Céréales pour le petit-déjeuner : les arguments de vente sont trompeurs mais efficaces
Sur la plupart des paquets des céréales pour le petit-déjeuner, les arguments de vente ne correspondent pas aux vertus nutritionnelles réelles des produits. Pourtant, ce marketing influence les acheteurs, selon une nouvelle étude du Journal of Public Policy & Marketing. "Nous avons constaté que les consommateurs avaient une attitude plus positive à l'égard des allégations fondées sur la présence de quelque chose de bon, comparativement aux allégations portant sur l'absence de quelque chose de mauvais", explique le co-auteur de l'étude, Pierre Chandon. En d’autres termes, la présence de "vitamines D, de vitamines B et de fer", comme indiqué sur les paquets de Miel Pops, fait plus vendre que l’absence de gluten ou d’OGM par exemple. Plus d'informations dans notre article.