Dans les pays industrialisés, le nombre de personnes atteintes par Syndrome de fatigue chronique serait de 1 sur 600 à 1 sur 200.
Le diagnostic est posé lorsque toute maladie a pu être écartée par des examens sanguins et que le malade présente une fatigue persistante (six mois consécutifs ou plus).
Le syndrome de fatigue chronique est une maladie méconnue, caractérisée par un état de fatigue persistant extrêmement intense, apparaissant soudainement chez une personne jusque-là en bonne santé et non dépressive, sans que l’on puisse trouver de cause particulière. Pour y faire face, William Berrebi, docteur en Médecine et Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, donne les cinq conseils suivants :
1- Réaliser des exercices "progressifs" encadrés de préférence par un physiothérapeute ou un kinésithérapeute, qui permettent de maintenir ou de restaurer la capacité des muscles : le vélo, la marche ou la natation, à raison de 10 à 30 minutes par jour. "Même si certaines personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique sont épuisées par le moindre effort, la reprise de l’activité physique est primordiale car paradoxalement le repos prolongé a tendance à accentuer la fatigue et l’état de faiblesse", précise le docteur Berrebi.
2- Effectuer une thérapie cognitive et comportementale, qui améliore le bien-être général de 70% des personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique. Cette forme de psychothérapie aide à mettre en pratique les "bonnes" attitudes face aux situations difficiles afin de mieux les affronter.
3 - De manière générale, la pratique de diverses techniques de relaxation peut être bénéfique, grâce à leur influence sur le comportement face au stress et à la maladie.
4 - Des antidépresseurs à faible dose et sur prescription médicale agissent à la fois sur l’humeur et sur la qualité du sommeil. Ils peuvent également être bénéfiques en cas de douleurs, et certains ont une action dynamisante.
5- Des médicaments spécifiques en cas de faible pression artérielle.
Dans les pays industrialisés, le nombre de personnes atteintes par syndrome de fatigue chronique serait de 1 sur 600 à 1 sur 200. Il touche essentiellement les jeunes adultes entre 20 et 40 ans et survient deux fois plus souvent chez les femmes.
La maladie apparaît souvent après une infection bactérienne ou virale, comme la grippe ou la mononucléose infectieuse. Le diagnostic est posé lorsque toute maladie a pu être écartée par des examens sanguins et que le malade présente une fatigue persistante (six mois consécutifs ou plus). Chez les personnes atteintes, la seule anomalie sanguine mise en évidence est une baisse de certaines hormones dosées dans le sang, notamment l’hormone de croissance et le cortisol.
1- Réaliser des exercices "progressifs" encadrés de préférence par un physiothérapeute ou un kinésithérapeute, qui permettent de maintenir ou de restaurer la capacité des muscles : le vélo, la marche ou la natation, à raison de 10 à 30 minutes par jour. "Même si certaines personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique sont épuisées par le moindre effort, la reprise de l’activité physique est primordiale car paradoxalement le repos prolongé a tendance à accentuer la fatigue et l’état de faiblesse", précise le docteur Berrebi.
2- Effectuer une thérapie cognitive et comportementale, qui améliore le bien-être général de 70% des personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique. Cette forme de psychothérapie aide à mettre en pratique les "bonnes" attitudes face aux situations difficiles afin de mieux les affronter.
3 - De manière générale, la pratique de diverses techniques de relaxation peut être bénéfique, grâce à leur influence sur le comportement face au stress et à la maladie.
4 - Des antidépresseurs à faible dose et sur prescription médicale agissent à la fois sur l’humeur et sur la qualité du sommeil. Ils peuvent également être bénéfiques en cas de douleurs, et certains ont une action dynamisante.
5- Des médicaments spécifiques en cas de faible pression artérielle.
Dans les pays industrialisés, le nombre de personnes atteintes par syndrome de fatigue chronique serait de 1 sur 600 à 1 sur 200. Il touche essentiellement les jeunes adultes entre 20 et 40 ans et survient deux fois plus souvent chez les femmes.
La maladie apparaît souvent après une infection bactérienne ou virale, comme la grippe ou la mononucléose infectieuse. Le diagnostic est posé lorsque toute maladie a pu être écartée par des examens sanguins et que le malade présente une fatigue persistante (six mois consécutifs ou plus). Chez les personnes atteintes, la seule anomalie sanguine mise en évidence est une baisse de certaines hormones dosées dans le sang, notamment l’hormone de croissance et le cortisol.