Dès cette rentrée universitaire, les étudiants en médecine qui entrent en deuxième cycle bénéfieront d’un enseignement sur l’endométriose.
Malgré un grand nombre de cas et une récente médiatisation, cette maladie est encore trop peu connue et diagnostiquée tardivement, avec un retard de sept ans en moyenne sur l'apparition des premiers symptômes.
Afin d’améliorer sa prise en charge, l’endométriose entre officiellement dans le programme de formation des médecins. Une évolution saluée par les militants associatifs.
Un arrêté du ministère de l’enseignement et de la recherche intègre désormais l’endométriose dans le chapitre "de la conception à la naissance, pathologie de la femme – Hérédité – L’enfant – L’adolescent", qui a pour but de faire connaître aux étudiants les principales pathologies de la femme. Dès cette rentrée universitaire, les étudiants en médecine qui entrent en deuxième cycle bénéfieront d’un enseignement sur l’endométriose. Il permettra de savoir diagnostiquer la maladie, d’en connaitre les principales complications et de bien la prendre en charge.
Proposer une prise en charge adaptée à chaque femme
"Cet arrêté répond enfin aux demandes d’EndoFrance depuis de nombreuses années !", se félicite l’association. "Notre première démarche pour alerter le ministère de la santé sur le manque de formation initiale dédiée à l’endométriose pour des médecins généralistes et gynécologues date de 2005 !", rappellent les militants. Ils poursuivent : "après tant d’années d’efforts, EndoFrance se réjouit que les médecins de demain sauront plus facilement, et plus rapidement peut-être, diagnostiquer une endométriose et proposer une prise en charge adaptée à chaque femme qui en est atteinte."
Concernant les médecins en exercice, EndoFrance les encourage à suivre une formation de développement professionnel continu sur le thème de l’endométriose.
Une maladie inflammatoire chronique touchant au moins une femme sur dix
L’endométriose est une maladie inflammatoire chronique touchant au moins une femme sur dix en âge de procréer. Elle se caractérise la plupart du temps par des douleurs très intenses lors des périodes menstruelles. Malgré un grand nombre de cas et une récente médiatisation, cette maladie est encore trop peu connue et diagnostiquée tardivement, avec un retard de sept ans en moyenne sur l'apparition des premiers symptômes.
Un arrêté du ministère de l’enseignement et de la recherche intègre désormais l’endométriose dans le chapitre "de la conception à la naissance, pathologie de la femme – Hérédité – L’enfant – L’adolescent", qui a pour but de faire connaître aux étudiants les principales pathologies de la femme. Dès cette rentrée universitaire, les étudiants en médecine qui entrent en deuxième cycle bénéfieront d’un enseignement sur l’endométriose. Il permettra de savoir diagnostiquer la maladie, d’en connaitre les principales complications et de bien la prendre en charge.
Proposer une prise en charge adaptée à chaque femme
"Cet arrêté répond enfin aux demandes d’EndoFrance depuis de nombreuses années !", se félicite l’association. "Notre première démarche pour alerter le ministère de la santé sur le manque de formation initiale dédiée à l’endométriose pour des médecins généralistes et gynécologues date de 2005 !", rappellent les militants. Ils poursuivent : "après tant d’années d’efforts, EndoFrance se réjouit que les médecins de demain sauront plus facilement, et plus rapidement peut-être, diagnostiquer une endométriose et proposer une prise en charge adaptée à chaque femme qui en est atteinte."
Concernant les médecins en exercice, EndoFrance les encourage à suivre une formation de développement professionnel continu sur le thème de l’endométriose.
Une maladie inflammatoire chronique touchant au moins une femme sur dix
L’endométriose est une maladie inflammatoire chronique touchant au moins une femme sur dix en âge de procréer. Elle se caractérise la plupart du temps par des douleurs très intenses lors des périodes menstruelles. Malgré un grand nombre de cas et une récente médiatisation, cette maladie est encore trop peu connue et diagnostiquée tardivement, avec un retard de sept ans en moyenne sur l'apparition des premiers symptômes.