Selon le dernier bulletin du Réseau National de Surveillance Aerobiologique (RNSA) valable jusqu’au 16 mai, les averses printanières que cmnnait la France depuis plusieurs jours profitent aux fleurs des champs. « Que ce soient sur les bas côtés des routes et chemins, dans les prés ou les jardins, leurs grands épis fleurrissent et disséminent leurs pollens », explique le RSNA. Les allergiques n'y sont pas insensibles. S'il est moyen sur une majorité du territoire, le risque est élevé, voire très élevé sur la côte Atlantique, l'Aquitaine,et en remontant sur la vallée du Rhône pour atteindre la Franche Comté et le Bas Rhin.
Pour la semaine prochaine, les pollens de chêne resteront présents sur le bassin méditérranéen avec un record pour la ville de Nîmes et les environs.