Cancer du col de l’utérus : pourquoi l’OMS recommande de vacciner dès 9 ans

Vacciner tôt, dépister régulièrement, ce sont les deux points clés des nouvelles recommandations de l’Organisation mondiale de la santé dans le contrôle du cancer du col de l’utérus.

OJO Images / Rex Featur/REX/SIPA

Publié le 04.12.2014 à 14h23
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Cervarix

Le vaccin contre le papillomavirus humain doit être administré avant le début de l’activité sexuelle. C’est ce que rappelle l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un nouveau guide de bonnes pratiques. Présenté ce 3 décembre au Sommet mondial du Cancer, qui se tient à Melbourne (Australie), il détaille les différentes mesures de prévention du cancer du col de l’utérus.

Il faudrait commencer la vaccination contre le papillomavirus dès 9 ans, affirme l’OMS dans son guide. Cela permet d’atteindre les jeunes filles avant qu’elles ne soient sexuellement actives. Par ailleurs, vacciner tôt permet de n’utiliser que deux doses, ce qui représente une économie de taille pour les pays aux revenus modestes. L’agence sanitaire de l’ONU conseille aussi d’en faire une vaccination de routine, ce qui n’est le cas que dans 55 pays. Des recommandations d’autant plus importantes que le Gardasil et le Cervarix préviennent les infections par les types 16 et 18 du papillomavirus et présentent « un excellent profil de sécurité. »

Dépister dès 30 ans

L’objectif de ce guide, aussi appelé le « Pink book » (Livre rose, ndlr), est de mieux organiser la prévention et le contrôle du cancer du col de l’utérus. Il aborde donc la prévention secondaire : le dépistage du papillomavirus doit s’effectuer dès 30 ans, souligne l’OMS. Après un résultat négatif, les examens peuvent être réalisés entre 5 et 10 ans d’intervalle.

« Nous n’avons pas de recette magique, mais la combinaison des outils les plus efficaces et les plus accessibles pour prévenir et traiter le cancer du col de l’utérus aidera à alléger la charge pour des budgets restreints, particulièrement dans les pays à faible revenu, et contribuer fortement à l’élimination du cancer du col de l’utérus », détaille le Dr Nathalie Broutet, experte à l’OMS sur la prévention et le contrôle du cancer du col de l’utérus. D’autant plus que les mesures préconisées dans ce guide sont facilement intégrables aux systèmes de santé existants.

Commentaires

bluesy.man.1
03.12.2014 20h03

Une bande de fous dangereux, sans doute appointés par les lobbies pharmaceutiques, voilà ce qu'est devenue une partie du monde médical.... Avec un déni total des risques liés à la sur-vaccination des enfants, le mensonge comme quoi les vaccins sont inoffensifs et aucune preuve sérieuse, aucun recul thérapeutique permettant d'affirmer qu'on peut éviter le cancer avec un tel vaccin.

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- eddy.benoit.184
  04.12.2014 02h41
  
  Tout a fait d'accord, les lobbies pharmaceutiques. Je me doutes bien que c'est vaccins sont mis au point pour rendre les jeunes filles stériles d'une part de plus que de les empoisonner avec les métaux lourd qu'ils contiennent comme tout vaccin. Mais bon ça rapporte a l'industrie pharmaceutique. Comme les vaccins pour la grippe un pur scandale. La grippe étant déjà un état normale du corps qui expulse les toxines hors du corps. Le scandale du virus ebola qui est breveté par les USA , bientôt un vaccins sortira pour profité a qui ? Pas besoins de tout ces vaccins qui nous empoisonne. Il y a deux moyen de se guérir de l'ebola. Sans passé par les vaccins qui vous tuerons d'ailleurs si vous les faites. Il faut savoir aussi que toutes les statistique sont fausses.
  
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