L’empathie ne se décrète pas, elle est inscrite dans nos gènes, c’est ce que révèle une étude de l’université de l’Oregon. Cette disposition, remarque le journal La Croix, est liée à la structure du gène récepteur de l’ocytocine, une hormone sécrétée lors des rapports amoureux. Les chercheurs ont conçu une expérience à laquelle ont participé 23 couples. « Nos conclusions, expliquent-ils, tendent à montrer qu’une variation génétique, aussi infime soit-elle, a des conséquences réelles sur le comportement.
Les carottes n’ont pas la côte
Le slogan est connu mais la recommandation est peu appliquée. Selon une étude du Credoc menée sur 1222 foyers et rapportée par Le Monde, les trois quarts de la population n’appliquent pas le conseil des cinq fruits et légumes par jour. A peine un enfant sur dix de 3 à 14 ans observe la règle des cinq et les jeunes adultes sont encore moins vertueux. Le message passe mieux chez les plus de 65 ans, relate le quotidien. 31% d’entre eux sont amateurs assidus de navets, poireaux et autres carottes.