Compte tenu de la gravité de la maladie, le traitement du syndrome du choc toxique menstruel est uniquement hospitalier.
Une prise en charge rapide en réanimation, ou en unités de soins intensifs, est primordiale.
Les traitements utilisés dans le syndrome du choc toxique menstruel sont administrés par voie intra-veineuse en réanimation ou en unité de soins intensifs. Il s’agit, entre autres, de solutés minéraux, de médicaments (antibiotiques, corticoïdes, médicaments permettant d’augmenter la pression artérielle…) et des immunoglobulines.
La majorité des femmes présentant un syndrome du choc toxique menstruel nécessite la mise en place d’une assistance respiratoire (oxygène, ventilation mécanique).
La dialyse peut être nécessaire en cas d’atteinte rénale associée.
Bien évidemment, le tampon ou la coupe menstruelle est retiré du vagin.