Pour mieux appréhender les préoccupations de la "génération Z" autour de leur vie sexuelle, la Fondation Ramsay Santé a réalisé en partenariat avec Jam by June une nouvelle enquête auprès de 1000 personnes âgées entre 15 et 25 ans.
Moins de tabous
Premier enseignement du sondage : les jeunes Français s’informent sur la sexualité d’abord par leurs propres moyens. 64% déclarent ainsi se renseigner principalement grâce à Internet (Google), les réseaux sociaux (Instagram, Tik Tok, Youtube) et les sites pornographiques.
Les proches et la famille représentent la seconde source d’information privilégiée. "Le sujet de la sexualité devient moins tabou pour la génération Z", analysent à ce propos les sondeurs dans leur rapport. "En effet, 22% des jeunes abordent désormais ces questions avec leurs amis et leur famille (19% des hommes et 25% des femmes) ", poursuivent-ils.
À travers cette enquête, les jeunes ont aussi pu partager la nature des informations qu’ils recherchent. Connaître les bonnes pratiques sexuelles (préliminaires, positions, fellation, cunnilingus...) et la façon d’appréhender un acte (mise en place du préservatif, hygiène intime, etc.) sont les préoccupations qui arrivent en tête pour 38% des personnes interrogées. Les moyens de contraception, l’asexualité ou encore l’utilisation de sex toys questionnent également 24% des sondés.
Performance
Concernant l’intention, les hommes sont davantage à la recherche d’enseignements liés à la performance sexuelle, 48% déclarant avoir déjà fait ce genre de démarches contre seulement 28% des femmes. 42% des individus analysés s’intéressent également de près aux questions de prévention (maladies sexuellement transmissibles, cancers), un taux qui s’élève cette fois-ci à 47% chez les femmes contre seulement 36% chez les hommes.
Enfin, 38% des 15-25 ans estiment que les cours d’éducation sexuelle organisés à l’école sont insuffisants et non adaptés à leurs pratiques, un sentiment particulièrement partagé chez les plus âgés de la cohorte. "Face à la flambée des infections et maladies sexuellement transmissibles suite à des rapports non protégés, l’émergence de la question du consentement et l’accès des très jeunes aux sites pornographiques, leur vie sexuelle est devenue un sujet préoccupant", concluent les auteurs de l’étude.
Moins de tabous
Premier enseignement du sondage : les jeunes Français s’informent sur la sexualité d’abord par leurs propres moyens. 64% déclarent ainsi se renseigner principalement grâce à Internet (Google), les réseaux sociaux (Instagram, Tik Tok, Youtube) et les sites pornographiques.
Les proches et la famille représentent la seconde source d’information privilégiée. "Le sujet de la sexualité devient moins tabou pour la génération Z", analysent à ce propos les sondeurs dans leur rapport. "En effet, 22% des jeunes abordent désormais ces questions avec leurs amis et leur famille (19% des hommes et 25% des femmes) ", poursuivent-ils.
À travers cette enquête, les jeunes ont aussi pu partager la nature des informations qu’ils recherchent. Connaître les bonnes pratiques sexuelles (préliminaires, positions, fellation, cunnilingus...) et la façon d’appréhender un acte (mise en place du préservatif, hygiène intime, etc.) sont les préoccupations qui arrivent en tête pour 38% des personnes interrogées. Les moyens de contraception, l’asexualité ou encore l’utilisation de sex toys questionnent également 24% des sondés.
Performance
Concernant l’intention, les hommes sont davantage à la recherche d’enseignements liés à la performance sexuelle, 48% déclarant avoir déjà fait ce genre de démarches contre seulement 28% des femmes. 42% des individus analysés s’intéressent également de près aux questions de prévention (maladies sexuellement transmissibles, cancers), un taux qui s’élève cette fois-ci à 47% chez les femmes contre seulement 36% chez les hommes.
Enfin, 38% des 15-25 ans estiment que les cours d’éducation sexuelle organisés à l’école sont insuffisants et non adaptés à leurs pratiques, un sentiment particulièrement partagé chez les plus âgés de la cohorte. "Face à la flambée des infections et maladies sexuellement transmissibles suite à des rapports non protégés, l’émergence de la question du consentement et l’accès des très jeunes aux sites pornographiques, leur vie sexuelle est devenue un sujet préoccupant", concluent les auteurs de l’étude.