Le mélanome ne représente que 5 % des cancers de la peau, mais c’est aussi le plus mortel. Huit décès sur dix lui sont attribués. De fait, il est particulièrement agressif. Les traitements, eux, sont limités et s’opposent parfois à une résistance rapide. Une équipe de l’Inserm et du CHU de Nice (Alpes-Maritimes) propose une nouvelle molécule pour combattre ce cancer cutané. Elle cible la même voie de signalisation que les thérapies ciblées, mais induit un stress élevé au niveau des cellules tumorales pour provoquer leur mort.